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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 22:20

Sur les recherches du blog, je vois régulièrement des recherches pour le PDF de la traduction. Bon désolé se sera pas pour tout de suite (sinon il faudrait que je traduise tout d'une traite et se serait  très long).

 

Disons donc que je continue la traduction des chapitre et à la fin du 1er tome (oui il y a 2 parties de Master of the universe), je vous fais un PDF.

 

En attendant, voici la suite.



Disclaimer : Rien ne m'appartient, les personnages sont la propriété de Stephenie Meyer et Summit entertainement, l'histoire est de Snowqueens Icedragon.

 

Chapitre 10


C'est très calme. La lumière est tamisée. Je suis bien au chaud et confortablement installé, dans ce lit. Hmmm ... J'ouvre les yeux et pendant un moment je suis tranquille, sereine, profitant de ce très étrange environnement inconnu. Je n'ai aucune idée d'où je suis. La tête de lit derrière moi à la forme d'un soleil massif. Attendez, c'est étrangement familier. La chambre est grande et spacieuse et confortablement aménagée, dans les bruns et or et beige. Je l'ai vu avant. Où? Mon cerveau embrouillé lutte à travers ses récents souvenirs visuels. Sainte Merde. Je suis dans l'hôtel
Heathman ... dans une suite. Je suis allé dans une suite semblable à celle-ci avec Rose. Celle la semble plus grande. Oh merde ... Je suis dans la suite d'Edward Cullen. Comment suis-je arrivé ici? Des morceaux souvenirs de la nuit précédente viennent lentement me hanter. La boisson, oh non l'ivresse, l'appel téléphonique, oh non le vomissement. Jake ... Edward ... oh non. Je grince des dents intérieurement. Je ne me souviens d'être venu ici. Je porte mon t-shirt et mon soutien-gorge et ma culotte ... pas de chaussettes ... pas de jeans ... Putain de merde.


Je regarde la table de chevet. Dessus il y a un verre de jus d'orange et deux comprimés blancs. Advil. Maniaque du contrôle qu'il est, il pense à tout. Je m'assoie et prends les comprimés. En fait, je ne me se sent pas si mal que ça. Probablement beaucoup mieux que je ne le mérite. Le jus d'orange a un goût divin, désaltérant, rafraîchissant, revigorant. Oh, rien ne vaut un jus d'orange pour l'haleine-du-matin.


On frappe à la porte. Oh non, il est de retour de l'endroit ou il était. Je n'arrive pas à retrouver ma voix. Il ouvre la porte et entre.


Sainte merde, il a été faire du sport. Il est en pantalon de survêtement gris, qui descend, de cette manière, sur ses hanches, et un maillot gris, qui est assombri par la sueur, comme ses cheveux. La sueur d'Edward Cullen. Je prends une grande respiration et je ferme les yeux. Comme un enfant de
deux ans ... si je ferme les yeux alors je ne suis pas vraiment ici.


-Bonjour, Isabella. Comment vous sentez-vous? 


Oh non. Devrais-je essayer de m'excuser? Me rejeter la faute sur moi-même, c'est la meilleure forme des défense?


-Mieux que je ne mérite, je marmonne.


Je jette un coup d'oeil vers lui. Il pose un
grand sac à provisions sur une chaise et saisit chaque extrémité d'une serviette qu'il a autour du cou. Il me regarde, les yeux verts sombres, et comme d'habitude je n'ai aucune idée d'à quoi il pense. Il cache ses pensées et ses sentiments si bien.


-Comment suis-je arrivé ici? Ma voix est faible, contrite.

Il vient s'asseoir sur le bord du lit. Il est assez proche de moi pour que je le touche, que je le sente ... oh mon. Sueur et gel douche et Edward ... C'est un cocktail enivrant. Bien mieux d'une margarita, et maintenant je peux parler d'expérience.


-Eh bien, après avoir perdu connaissance, je ne voulais pas faire courir au cuir de ma voiture le risque de vous raccompagner à votre appartement. Donc, je  vous ai emmenée ici, dit-il flegmatiquement.


-M'avez-vous mit au lit?


-Oui. Son visage est impassible.


-Ai-je vomi à nouveau? Ma voix est plus silencieuse.


-Non.


-M'avez-vous déshabillé? Je murmure.


-Oui ... Il hausse un sourcil alors que je rougis furieusement.


-Nous n'avons pas ... je murmure, ma bouche sèche
mortifié par l'horreur que je ne peux pas terminer la question. Je regarde mes mains.


-Isabella, vous étiez dans le coma. La nécrophilie n'est pas mon truc. J'aime qu'une femme soit consciente et réceptive .... Croyez-moi, dit-il sèchement.


-Je suis tellement désolé. 


Sa bouche se soulève légèrement dans un sourire désabusé.


-Ce fut une soirée très divertissante. Je ne risque pas de l'oublier.


Moi non plus. Oh, il se moque de moi ... le bâtard. Je ne lui ai pas demandé de venir me chercher. D'une certaine manière je suis devenue la méchante de la pièce.


-Vous n'aviez pas besoin de me tracer avec vos trucs de James Bond que vous développez pour le plus offrant,  je lâche.


Il me dévisage, surpris, et si je ne me trompe pas, un peu blessé.


-Tout d'abord, la technologie pour suivre les téléphones cellulaires est disponible sur Internet. Deuxièmement, ma société n'investit pas et ne fabrique pas tout type de dispositifs de surveillance et, troisièmement, si je n'était pas venu pour vous ... vous vous seriez probablement réveiller dans le lit du photographe, et d'après ce que je me souviens, vous n'étiez pas très enthousiasmé, dit-il  avec amertume.

par ses assiduités! Je regarde Edward. Il est braqué sur moi, ses yeux verts flamboyant, sévère. J'essaie de me mordre la lèvre, mais je n'arrive pas à réprimer mon rire.


-De quelle chronique médiévale vous êtes-vous échappé? Ris-je. -On dirait un preux chevalier.


Il me regarde, et son humeur change visiblement. Ses yeux se radoucissent et son expression est plus chaleureuse, et je vois la trace d'un sourire sur ses lèvres magnifiquement ciselés.


-Oh, Isabella. Je ne pense pas. Un chevalier noir, peut-être ... Son sourire est narquois, et il secoue sa tête. -Avez-vous mangé hier soir?  Son ton est accusateur.


Je secoue la tête. Quelle transgression majeure ai-je commis aujourd'hui? Sa mâchoire se crispe, mais son visage reste impassible.


-Vous avez besoin de manger. C'est pourquoi vous étiez si mal. Honnêtement, Isabella
, c'est la règle numéro un avant de boire autant. Il passe sa main dans ses cheveux et je sais que c'est parce qu'il est exaspéré.


-Allez-vous continuer à me gronder?


-Est-ce que c'est ce que je fais?


-Je pense que oui ...


-Vous avez de la chance que je ne fasse que vous gronder.


-Que voulez-vous dire?


-Eh bien, si vous étiez à moi, vous ne seriez pas en mesure de vous asseoir pendant une semaine après la cascade d'hier. Vous ne mangez pas, vous avez bu, vous vous mettez en danger ... Il ferme ses yeux, la peur gravée sur son beau visage, et il frémit légèrement. Quand il ouvre les yeux, il me fixe. -Je n'ose penser à ce qui aurait pu vous arriver.


Je grimace. Quel est son problème? Qu'est-ce que ça peut lui faire? Si j'étais à lui ... eh bien je ne le suis pas ... mais peut-être, une partie de moi, voudrait l'être. Cette pensée transperce à travers l'irritation que je ressens à ses mots. Je rougis à l'entêtement de ma conscience. Elle fait sa danse joyeuse dans une jupe hawaïenne rouge à l'idée d'être la sienne.


-J'aurais été bien. J'étais avec Rose.


-Et le photographe? Il s'en prend à moi.


Hmmm ... le jeune Jacob. Je vais devoir lui faire face à un moment ou l'autre. Je hausse les épaules légèrement. -Jacob à un peu dépassé les bornes, c'est tout.

-Eh bien, la prochaine fois qu'il dépassera les bornes peut être que quelqu'un devrait lui apprendre les bonnes manières.


-Vous aimez la discipline, je souffle sur lui.


-Oh, Isabella ... vous n'avez aucune idée. Il me sourit et c'est si désarmant. Une minute, je suis confuse et en colère, la prochaine je regarde son sourire magnifique. Wow ... Je suis plus qu'éblouis et c'est parce que son sourire est si rare. J'en oublie presque ce dont il me parle.


-Je vais prendre une douche. Sauf si vous voulez prendre une douche en premier? Il penche la tête d'un côté, toujours souriant. Mon rythme cardiaque s'accélère et mon bulbe rachidien a négligé de tirer des synapses pour me faire respirer. Son sourire s'élargit et il tend le bras et caresse du pouce ma joue et ma lèvre inférieure.


-Respirez-Isabella, il murmure et il se lève. -Le petit déjeuner sera là dans une quinzaine de minutes. Vous devez être affamé. Il se dirige vers la salle de bain et ferme la porte.


Putain de merde ... Pourquoi est-il si follement attirant? En ce moment je veux aller le rejoindre dans la douche. Je n'ai jamais ressenti ça pour personne. Mes hormones sont en ébullition. Je peux sentir le picotement sur la voie suivi par son pouce, en écho sur mon visage et la lèvre inférieure où il m'a touché. Je me tortille prise d'une nécessité, endolorie ... inconfortable. Je ne comprends pas cette réaction.


Désir ... C'est le désir ... C'est ce que l'on ressent.


Je me rallonge sur les oreillers de plume moelleux. "Si tu étais à moi." Oh mon. Que ferais-je pour être sienne? Il est le seul homme qui m'ait jamais excitée. Pourtant, il est tellement contrariant, aussi, il est si difficile, complexe et déroutant. Il me repousse une minute, puis il m'envoie quatorze mille dollars des collections de livres, puis il me suit comme un harceleur.


Et malgré tout cela, j'ai passé la nuit dans sa chambre d'hôtel ... et je me sens en sécurité. Protégée. Il se soucie assez pour venir me sauver de quelque danger perçu à tort. Ce n'est pas un chevalier noir du tout, mais un chevalier blanc brillant, à l'armure éblouissante. Un héros romantique classique. Sir Gauvain ou Lancelot ... hmmm.


Je saute hors du lit, cherchant frénétiquement mon jean. Il ressort de la salle de bain humide et luisant de la douche, et toujours mal rasé, avec juste une serviette autour de sa taille et je suis là, jambes nues et godiche maladroite. Il est surpris de me voir à l'extérieur du lit.


-Si vous êtes à la recherche de votre jean, je l'ai envoyé à la blanchisserie. Son regard est un jade foncé. -Il était éclaboussé de votre vomi.


-Oh ... Je vire écarlate. Pourquoi, oh pourquoi me prend-il toujours en défaut?

-J'ai envoyé Taylor pour en acheter un autre, et des chaussures. Ils sont dans le sac sur la chaise.


Oh ... des vêtements propres. Quel bonus inattendu.


-Euh ... Je vais prendre une douche, je murmure. -Merci ... Que puis-je dire? Je prends le sac et me précipite dans la salle de bain loin de Edward nu ... oh mon. David de Michel-Ange n'est rien à côté de lui. Sa proximité est si déconcertante. Dans la salle de bain, tout est chaud et humide d'où il a été sous la douche. J'ôte mes vêtements, impatiente d'être sous le jet purifiant de la douche. L'eau tombe en cascade sur moi. Je tends mon visage vers le jet. Je veux Edward Cullen. Je le veux. Simplement. Pour la première fois dans ma vie, Je veux aller au lit avec un homme. Je veux sentir ses mains et sa bouche sur moi. Il a dit qu'il aime qu'une femme soit consciente. Il n'est probablement pas le célibataire alors. Mais il n'a fait aucun pas vers moi, pas comme Mike ou Jacob. Je ne comprends pas. Est-ce qu'il me veut? Il ne voulait pas m'embrasser la semaine dernière. Suis-je répulsive pour lui? Et pourtant, je suis ici et il m'a amené ici. Je ne sais pas à quoi il joue? Qu'est-ce qu'il pense? Tu as dormi dans son lit toute la nuit et il ne t'as pas touché Bella ... Tu fais le calcul. Mon subconscient a relevé sa tête narquoise. Je l'ignore. L'eau est si chaude ... apaisante. Hmmm ... Je pourrais rester sous cette douche, dans cette salle de bain pour toujours ... hmmm. J'attrape le gel douche et il sent comme lui. C'est une délicieuse odeur. Je le frotte sur tout mon corps, fantasmant que c'est lui - lui qui frotte ce céleste savon parfumé sur mon corps, sur mes seins, sur mon ventre, entre mes cuisses ... avec ses
mains aux longs doigts. Oh mon. Mon rythme cardiaque s'emballe à nouveau. C'est si ... si bon.


-Le petit déjeuner est là. Il frappe à la porte, me faisant sursauter.


-Ok, je bégaie alors qu'il me tire cruellement de ma rêverie érotique.


Je sors de la douche et me sèche rapidement. Je mets mes cheveux dans une serviette et l'enveloppe façon Carmen Miranda sur ma tête. Je me sèche rapidement, ignorant la sensation agréable de la serviette frottant contre ma
peau ultra-sensible.


J'inspecte le sac de jean. Non seulement Taylor m'a apporté un jean et une paire de Converse, mais aussi un chemisier bleu royal, des chaussettes et des sous-vêtements. Sainte Merde. Un soutien-gorge et une culotte propre. En fait, pour les décrire dans un terme aussi banal, de manière utilitaire ne leur rend pas justice. Ils sont une conception exquise de la lingerie fantaisie européenne. wow ... Je
suis dans la crainte, et un peu intimidé par ces sous-vêtement. De plus, ils me vont parfaitement. Mais bien sûr qu'ils me vont. Je pense à coupe-en-brosse dans une boutique de lingerie achetant ça pour moi. Je me demande quoi d'autre est dans sa description de poste. 

 

Je m'habille rapidement. Le reste de l'habillement est un ajustement parfait. J'ai retire brusquement la serviette sèche mes cheveux et tentent désespérément de les mettre en ordre. Mais encore une fois il refuse de coopérer et ma seule option est de les retenir avec un élastique ... Je n'en ai pas. Peut-être que dans mon sac, qui n'est pas ici. Je prends une grande respiration. Il est temps d'affronter M. déroutant. 

 

Il n'est pas dans la chambre. Je cherche mon sac, mais il n'est pas ici. Je traverse la chambre vers le reste de la suite.

 

Oh la vache. C'est immense. Il y a un opulent, coin salon cossu, tous de canapés rembourrés et coussins moelleux, une table basse élaborée avec une pile de gros livres sur papier glacé, avec un coin travail avec un Mac haut de gamme, une télévision à écran plasma avec un énorme écran sur le mur ... et Edward assis à la table à manger de l'autre côté de la pièce, en lisant un journal. Ça à la taille d'un court de tennis tribunal ou quelque chose ... pas que je joue au tennis ... mais j'ai vu quelques-fois Rose. Rose! 

 

-Merde ... Rose,-je hurle. Edward lève les yeux vers moi.

 

-Elle sait que tu es là et toujours en vie. J'ai envoyé un texto à Emmett, dit-il avec juste une trace d'humour.

 

Oh non ... Je me souviens de son ardeur fervente de la veille. La danse, avec le frère d'Edward rien que ça! Qu'est-ce qu'elle va penser de moi d'être ici? Je n'ai jamais dormi dehors avant. Elle est toujours avec Emmett. Elle l'a seulement fait deux fois auparavant, et les deux fois j'ai dû supporter les hideux pyjamas roses de ruptures, pendant une semaine. Elle va penser que j'ai eu une aventure d'une nuit, moi aussi.

 

Edward me regarde impérieusement. Il porte une chemise blanche en lin, col et poignets déboutonnés.

 

-Asseyez-vous, il commande, pointant vers une place à la table.

 

Je traverse la pièce pour m'asseoir en face de lui, comme on me l'a demandé. La table est chargée de nourriture.

 

-Je ne sais pas ce que vous aimez, alors j'ai commandé un peu de tout ce que propose le menu du petit déjeuner. Il sourit d'un sourire en coin.

 

-Eh bien, c'est très extravagant de votre part, je murmure, étourdie par le choix, mais j'ai faim. J'opte pour crêpes, sirop d'érable, des œufs brouillés et du bacon. Edward essaie de cacher un sourire alors qu'il retourne à son omelette au blanc d'oeuf ou quoi que ce soit qu'il est pris. La nourriture est délicieuse.


-Thé? Il demande.


-Oui, s'il vous plaît. Il me passe une petite théière d'eau chaude et sur une soucoupe un
Sachet Twining de thé English Breakfast. Bon sang, il se souvient comment j'aime mon thé.


-Vos cheveux sont très humides, il gronde.


-Euh ... Je ne pouvais pas trouver le sèche-cheveux, je murmure, embarrassé. Non pas que j'ai regardé.

Edward pince les lèvres dans une ligne dure, mais il ne dit rien.


-Merci pour l'organisation des vêtements.
 

-C'est un plaisir, Isabella. Ce bleu vous va très bien.
 

Je pense que je deviens pourpre et regarde vers le bas sur mes doigts.
 

-Vous savez, vous devriez vraiment apprendre à accepter un compliment. Son ton est fustigeant.
 

-Je vous donnerai un peu d'argent pour eux. Pour vous rembourser.


Il est braqué sur moi maintenant comme si je l'avais offensé d'une certaine manière. Je me dépêche.
 

-Vous m'avez déjà donné les livres, ce que, bien sûr, je ne peux pas accepter. Mais ces vêtements, s'il vous plaît laissez-moi vous rembourser.  Je lui souris timidement.

 

-Isabella, croyez-moi, j'en ai les moyens.


-Ce n'est pas la question. Pourquoi devriez-vous acheter ça pour moi?


-Parce que je le peux. Ses yeux clignotent avec une lueur malicieuse.


-Juste parce que vous le pouvez, ne signifie pas que vous devez,  je réponds tranquillement alors qu'il lève un sourcil, ses yeux brillant, et tout à coup j'ai l'impression que nous parlons autre chose, mais je ne sais pas ce que c'est. Ce qui me rappelle ...-Pourquoi m'avez-vous envoyé
les livres, Edward?  Ma voix est douce.


Il pose ses couverts et me regarde fixement, ses yeux verts brûlent avec une certaine émotion insondable. Oh la vache - j'en ai la bouche sèche.


-Eh bien, quand vous avez été presque écrasé par le cycliste, et je
vous tenais et vous étiez entrain de me regarder toute 'embrassez-moi, embrassez-moi Edward' ...  il s'arrête et hausse les épaules légèrement,-j'ai senti que je vous devais des excuses, et un avertissement.


Il passe sa main dans ses cheveux. -Isabella, je ne suis pas le genre d
'homme qui offre des cœur et des fleurs. Je ne faites pas dans la romance. Mes goûts sont très singulier. Vous devriez rester loin de moi. Il ferme ses yeux, comme s'il s'avouait vaincu. -Je suis très attiré par vous. En fait, je me rends compte qu'il m'est impossible de rester loin de vous, mais je pense que vous avez compris cela déjà.


-Eh bien, ne résistez pas,  je murmure. Mon appétit a disparu. "Ne restez
pas à l'écart."


Il halète, les yeux écarquillés. -Vous ne savez pas ce que vous dites.

Eclairez-
moi, alors, je murmure.

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commentaires

K
continue et surtout MERCI!!!!
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