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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 15:35

Les fêtes, les cadeaux, les vacances, ça prend tu temps, et voilà que j'en oublie les traductions.

 

Bon aller on s'y remet, avec la suite des aventures de Bella dans un d'un hôtel de luxe.

 

Et BONNE ANNÉE à tous


Disclaimer : Rien ne m'appartient, les personnages sont la propriété de Stephenie Meyer et Summit entertainement, l'histoire est de Snowqueens Icedragon.


Chapitre 11


Nous sommes assis à nous regarder, aucun de nous ne touche notre nourriture.


-Vous n'avez pas fait voeux de célibat alors?  Je murmure.


Je peux voir une lueur d'amusement dans ses yeux verts. -Non Isabella, je ne suis pas chaste. Il fait une pause pour permettre à cette information d'être enregistré et je deviens écarlate. Le filtrage de ma bouche-à-mon-cerveau est rompu à nouveau. Je ne peux pas croire que je viens de dire ça à voix haute.

-Quels sont vos projets pour les prochains jours?  Il demande calmement.


-Je travaille aujourd'hui, à partir de midi ... Quelle heure est-il?  Je panique soudainement.


-Un peu plus de dix heure, vous avez beaucoup de temps. Qu'en est-il demain?  Il a ses coudes sur la table et son menton repose sur ses longs doigts joints.


-Rose et moi, nous allons commencer à empaqueter. Nous déménageons à Seattle le week-end prochain et je travaille à Newton toute cette semaine.


-Vous avez un logement à Seattle déjà?


-Oui.

 

-Où?


-Je ne me souviens pas l'adresse. C'est dans le quartier de Pike Market.


-Ce n'est pas loin de chez moi. Ses lèvres se contracte dans un demi-sourire. -Alors, où allez
-vous travailler à Seattle?


Où est-ce qu'il va avec toutes ces questions? L'inquisition Edward Cullen ... C'est presque aussi énervant que l'inquisition Rosalie Hale.


-J'ai postulé pour certains stages. J'attends des nouvelles.


-Avez-vous demandé à mon entreprise, comme je le suggérais?


Je rougis ... Bien sûr que non.

 
-Euh ... Non.

-Et quel est le problème avec ma compagnie?


-Votre compagnie ou votre compagnie?  Je lui sourie en coin.


Il sourit légèrement.


-Vous moqueriez-vous de moi Miss Swan?


Il penche sa tête d'un côté et je pense qu'il s'amuse, mais c'est difficile à dire. Je rougis, et baisse les yeux vers mon petit-déjeuner inachevé. Je ne peux pas le regarder dans les yeux quand il utilise ce ton de voix.


-J'aimerais mordre cette lèvre, il murmure sombrement.


Oh mon ... Je ne m'étais pas rendu compte que je me mordillais la lèvre inférieure. Je reste bouche-bée alors que je l'ai le souffle coupé et tente d'avaler en même temps. Cela doit être la chose la plus sexy que quelqu'un m'ai jamais dit. Les battement de coeur s'affolent, et je pense que je suis essoufflé. Bon sang, je suis tremblante, humide, confuse et il ne m'a même pas touché. Je suis mal à l'aise dans mon siège et de rencontrer son regard sombre.


-Eh bien, pourquoi ne le faites-vous pas?  Je le mets au défi, tranquillement.


-Parce que je ne vais pas vous toucher, Isabella. Pas tant que je n'aurai votre consentement écrit pour le faire. Ses lèvres laissent entrevoir un sourire ...


Quoi?


-Qu'est-ce que ça veut dire?


-Exactement ce que je dis ...  Il soupire et secoue la tête vers moi, amusé, mais aussi exaspéré. -J'ai besoin de vous le montrer, Isabella. À quelle heure finissez-vous votre travail ce soir?


-Environ 20h


-Eh bien, nous pourrions aller à Seattle ce soir ou samedi prochain, venez dîner chez moi, et je vous présenterai les faits alors. Le choix est le vôtre.


-Pourquoi ne pas me le dire maintenant?  Même à mes propres oreilles j'ai l'air irrité et geignarde.


-Parce que je profite de mon petit-déjeuner et de votre compagnie. Une fois que vous saurez, vous n'aurez probablement pas envie de me revoir.


Putain de merde ... qu'entend-il par là? Est-ce qu'il réduit les petits enfants en esclavage dans un trou perdu de la planète? Fait-il partie d'un syndicat du crime? Ça expliquerai pourquoi il est si riche. Est-il profondément religieux? Est-il impuissant? Certes, il pourrait m'assurer qu'il ne s'agit pas, en ce moment. Oh mon ... Je rougis en pensant aux possibilités. C'est ne me mène nulle part. Je tiens à résoudre l'énigme qu'est Edward Cullen et le plus tôt sera le mieux. Si cela signifie que quel que soit son secret il est tellement grave que je ne veux plus le revoir alors, franchement, ce sera un soulagement. Ne te ment pas à toi-même - me hurle mon subconscient - Il faudrait que ce soit vraiment épouvantable pour te faire partir en courant.


-Ce soir.


Il lève un sourcil.


-Comme Eve, vous êtes si prompt à manger le fruit de l'arbre de la connaissance, Il ricane.


-Vous moqueriez-vous de moi M. Cullen? Je demande gentiment. Cul pompeux.


Il plisse les yeux vers moi et prend son Blackberry. Il appuie sur un chiffre.


-Taylor. Je vais avoir besoin de l'hélicoptère ...


Hélicoptère!


-De Portland à disons 20.30 ... Non, veille à Escala ... Toute la nuit ...


Toute la nuit!


-Oui ... jusqu'à demain matin ... Je vais piloter de Portland à Seattle. Pilote à disposition dès 22.30.


Il pose le téléphone. Pas de s'il vous plaît ou de merci.


-Les gens font-ils toujours ce que vous leur dites?


-Habituellement, s'ils veulent conserver leur emploi, dit-il impassible.


-Et s'ils ne travaillent pas pour vous?


-Oh, je peux être très persuasif Isabella. Vous devez finir votre petit-déjeuner. Ensuite je vous déposerai chez vous. Je vais vous chercher à Newton à 20 heures, lorsque vous aurez terminé.


Je cligne des yeux, rapidement. J'ai mon second rencard avec Edward tellement-mystérieux
Cullen. On passe du café au tour d'hélicoptère. Wow ... Et il veut me mordre la lèvre ... oh mon ... Je rougis en y pensant.


-On va aller en hélicoptère à Seattle?

-Oui


-Pourquoi?


Il sourit malicieusement. -Parce que je le peux. Terminez votre petit-déjeuner.


Comment puis-je manger? Je vais à Seattle en hélicoptère avec Edward Cullen.


-Mangez, dit-il plus sèchement. -Isabella, J'ai un problème avec la nourriture gaspillée ... Mangez.


-Je ne peux pas manger tout ça.


-Mangez ce qui est dans votre assiette. Si vous aviez mangé correctement, hier, vous ne seriez pas ici et je ne serait pas obligé de dévoiler mon jeu en si peu de temps. Sa bouche se pince en une ligne sombre. Il a l'air en colère. Je froncer les sourcils et revient à ma nourriture maintenant froide. Je suis trop excité pour manger, Edward. Ne comprenez-vous pas? mon monologue interne explique ... Mais je suis trop lâche pour exprimer ces pensées à haute voix, surtout quand il a l'air si, sombre .... hmmm, maussade Cullen. L'assonance apporte un sourire à mon visage.


-Qu'est-ce qui est si drôle?  Il lance.


Je secoue la tête, n'osant pas le dire, et garde mes yeux sur ma nourriture que j'ai presque finie. J'avale mon dernier morceau de crêpe et je jette un coup d'oeil vers lui. Il me regarde d'un air pensif.


-Gentille fille, dit-il. -Je vais vous ramener chez vous quand vous aurez séché vos cheveux. Je ne veux pas que vous tombiez malade. Et il y a une sorte de promesse tacite dans ses paroles. Que veut-il dire? Je quitte la table, me demandant un instant si je dois demander la permission, mais je rejette l'idée. Ça établirait un dangereux précédent. Je retourne dans sa chambre. Une pensée m'arrête.


-Où avez-vous dormi la nuit dernière? Je me tourne pour le contempler, toujours assis sur la chaise de la salle à manger. Je ne vois pas de couvertures ou de draps ici - peut-être qu'il les a rangé.


-Dans mon lit, dit-il simplement, son regard impassible à nouveau.


-Oh ...


-Oui, c'était une nouveauté pour moi aussi. Il me sourit.


-Ne pas avoir ... de rapports sexuels ... Là - J'ai dit le mot. Je rougis, bien sûr.


-Non.  Il secoue la tête et fronce les sourcils, comme si quelque chose de désagréable lui revenait. -Dormir avec quelqu'un. Il prend son journal et continue à lire.

Au nom du ciel qu'est-ce que ça veut dire. Il n'a jamais couché avec personne? Je reste planté là, le regardant incrédule. Il est la personne la plus énigmatique que j'ai jamais rencontré. Et je prend conscience, que j'ai couché avec Edward Cullen, et je me botte les fesses. Qu'aurais-je donné pour être consciente, à le regarder dormir. Le voir vulnérable. Quelque part, je trouve cela difficile à imaginer. Eh bien, apparemment tout sera révélé ce soir. Je vais dans sa chambre, fouille dans un coffre à tiroirs et trouver le sèche-cheveux. En utilisant mes doigts, je sèche mes cheveux du mieux que je peux. Lorsque j'ai fini je me dirige dans la salle de bains. Je veux me laver les dents. Je vois la brosse à dents d'Edward ... Ce serait comme l'avoir dans ma bouche. Hmmm ... Je jette un regard coupable par dessus mon épaule vers la porte et je touche les poils de la brosse à dents. Ils sont humides. Il doit l'avoir utilisé. Je la saisie vite, mets un peu de dentifrice dessus et me brosse les dents à toute vitesse ... J'ai l'impression d'être une vilaine fille. C'est une telle sensation. Saisissant mon t-shirt, soutien-gorge et culotte d'hier, je les mets dans le sac que Taylor a apporté et retourne dans le salon à la recherche de mon sac et et de ma veste. Ô joie ... il y a un élastique pour cheveux dans mon sac. Edward me regarde alors que j'attache mes cheveux en queue de cheval, son expression indéchiffrable. Je peux sentir ses yeux me suivre quand je m'assoies pour attendre qu'il ait fini. Il est sur son BlackBerry en train de parler à quelqu'un.


-Ils en veulent deux? .... Combien cela coûte? ... D'accord, et quelles mesures de sécurité avons-nous mis en place? ... Et ils vont passer par Suez? ... Ben Sudan
est-il sûr? ... Et quand arrivent-ils au Darfour? ... Ok, on fait comme ça. Tenez-moi au courant des progrès réalisés. Il raccroche.


-Prête?


Je hoche la tête. Je me demande quel était le sujet de sa conversation.

 

Il attrape une veste marine à rayures et ses clés de voiture, et il se dirige vers la porte.


-Après avoir Mlle Swan, il murmure, ouvrant la porte pour moi. Il a une élégante désinvolture. Je m'arrête, un instant, le contemplant ... oh mon ... Et je dormais avec lui la nuit dernière, après toute la tequila et le vomissement ... Et il est toujours là, et il veut m'emmener à Seattle, je ne comprends pas ce qu'il voit en moi. Je me dirige vers la porte me rappelant ses paroles - Vous m'attirez - Eh bien, le sentiment est tout à fait réciproque Monsieur Cullen, je songe, alors que nous marchons tous deux en silence dans le couloir vers l'ascenseur. Pendant que nous attendons, je jette un coup d'oeil vers lui à travers mes cils et il me regarde du coin de l'oeil. Je souris et ses lèvres frémissent.


L'ascenseur arrive et nous entrons. Nous sommes seuls, et tout à coup pour quelque inexplicable raison, peut-être notre proximité dans un tel espace clos, l'ambiance entre nous change, chargé d'électricité, d'anticipation et d'exaltation. Ma respiration change. Sa tête tourne très légèrement vers moi, ses yeux sombres de jade. Je me mords la lèvre.


-Oh, fuck la paperasse, il grogne et il se jette sur moi, me poussant contre le mur de l'ascenseur et avant que je ne comprenne, il agrippe mes deux mains avec une des siennes comme dans un étau au-dessus de ma tête, et il me cloue au mur à l'aide de ses hanches ... Sainte merde. Son autre main attrape ma queue de cheval et il tire dessus, faisant remonter mon visage et ses lèvres sont sur moi. C'est presque douloureux. Je gémis dans sa bouche, ce qui donne à sa langue une ouverture et il prend l'avantage, sa langue experte explore ma bouche. Je n'ai jamais été embrassée comme ça. Mon langue caresse timidement la sienne et rejoint sa langue dans une
lente danse érotique et tout devient tactile et sensation. Il remonte sa main pour saisir mon menton et me tient en place. Je suis impuissante, mes mains coincé, mon visage relevé et ses hanches me retiennent. Je peux sentir son érection contre mon ventre ... Il me veut ... Edward Cullen, le dieu grec veut de moi. Et je le veux, ici, maintenant, dans l'ascenseur.


-Vous êtes si douce, il murmure, chaque mot un staccato.


L'ascenseur s'arrête et les portes s'ouvrent et il s'écarte de moi en un clin d'œil, me laissant pantelante ... Trois hommes en costumes d'affaires nous regarde et sourie en coin alors qu'ils monter à bord. Mon coeur bat à tout rompre, je me sens comme si j'avais couru une course. Je veux me pencher et saisir mes genoux, mais c'est juste trop évident. Je regarde rapidement vers lui. Il est tellement cool et calme, comme s'il avait fait les mots croisés du Seattle Times. Quelle injustice, n'est-il pas altéré par ma présence. Il me regarde du coin de l'œil et il souffle doucement en prenant un profonde inspiration. Oh, il est affecté aussi, et ma toute petite déesse intérieure se balance dans une douce samba victorieuse.


Les hommes d'affaires descendent au deuxième étage. Nous avons un étage de plus à voyager.


-Vous vous êtes brossé les dents, dit-il, en me fixant.


-J'ai utilisé votre brosse à dents,  je respire.


Ses lèvres s'écarte dans un demi-sourire.
 

-Oh, Isabella Swan ... Que vais-je faire de vous?

 

Les portes s'ouvrent au premier étage et il prend ma main et me tire.


-C'est quoi le truc avec les ascenseurs? il marmonne, plus pour lui que pour moi. Je peux à peine suivre son rythme parce que mon esprit est complètement, royalement, éparpillés partout sur le sol et les murs de l'ascenseur numéro trois de l'
Hôtel Heathman.

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commentaires

K
j'adore les ascenseur très motivant!!!
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